Comme quoi ce qui peut paraître négatif dans un premier temps peut se transformer en source de financement. Cela me permet de vous redire mon adage préféré : lorsque le vent se lève, il y a deux manières de réagir : élever des paravents ou construire des moulins à vent.
Dans un cas on essaie péniblement de se protéger en réaction à ce que l’on identifie comme une nuisance. Dans le second on cherche à exploiter cet atout en modifiant son écosystème.
C’est ce que pourrait faire les majors du disque qui viennent de se voir recommander par des spécialistes du marketing d’introduire de la publicité dans des morceaux leurres mis en ligne à travers les réseaux de peer to peer. Il y aurait déjà 1% de fichiers musicaux contenant des publicités sur ces réseaux d’échange. A quand le référencement payant pour être en tête de recherche dans emule ou kazaa et consors ? D’ici à ce que Google nous annonce le rachat de BitTorrent…. avec lequel les majors ont des accords et qui compléterait bien Youtube.
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